Bilan de la 1ère rencontre

Bilan de la 1ère rencontre

Les constats liés à l’objet de la 1ère rencontre ont recueilli un consensus immédiat et quasi général.

Si le mot « Bilan » est un peu fort pour exprimer le résultats de la réunion, disons qu’il en ressort déjà quelques éléments à consigner, entre constats, idées, craintes et espoirs :

  • la vision de développement économique dans la région au niveau institutionnel n’intègre absolument aucun volet lié à l’économie numérique : ni volonté, ni budget, ni action, ni souhait, ni avenir.
  • les forces vives intéressées souhaitent créer une association pour se rassembler et agir dans un cadre économique sur la base de ce constat
  • l’association serait divisée en « commissions » avec chacune sa ou ses missions pour permettre d’aborder les multiples pans de la démarche
  • les actions à mener doivent intégrer le court, le moyen et le long terme
  • l’association permettrait de disposer d’une représentativité du secteur pour agir à différents niveaux dans le but de favoriser la reconnaissance, de développer la connaissance et l’utilisation des technologies et solutions numériques profesionnelles
  • malgré les relations qui devront être établies, l’association devra tenter de s’affranchir d’une main mise politique pour éviter l’enlisement de son action
  • l’association devra se préserver de l’entrisme qu’elle pourra susciter, et devra mettre en place une structure destinée à l’en protéger
  • la création d’un évènement grande régional majeur (à terme) et redondant, sur le thème du numérique et destiné aux professionnels est envisagée. Sa forme : salon professionnel du numérique
  • la mise à disposition des réseaux des institutions locales pour favoriser la connaissance de cet évènement n’est pas à espérer
  • la possibilité de la création d’un espace de co-working, lieu de sourcing pour les professionnels affiliés à l’association a été évoquée

La conclusion de la réunion semblait remporter une adhésion unanime et exprimer la motivation même de cette rencontre :

« Soit on se bouge dans la région, soit on crève »